Elle se souvient de la résidence de la Forestière, où elle a habité pendant douze ans. « C’était une grande famille », sourit-elle. « Garçons et filles étaient frères et sœurs, sans jugement, ni stigmatisation ». Ce qui fait qu’elle s’y « sentait libre en tant qu’adolescente ». Valorisant « l’indépendance » des femmes, elle considère que « maris et femmes doivent tout partager dans le foyer ». Aujourd’hui, ces dernières « font tout », selon elle. « Une maison sans femme, c’est comme une mairie sans maire ! », affirme-t-elle.
Article publié dans Le mag n°112 Janvier-février 2017