Quand Louiza Messous perd en finale du championnat de France de boxe française, catégorie moins de 48 kg, elle et son entraineur clichois, Pascal Roche, le prennent comme une « grosse injustice ». Elle est privée de championnat du monde, qu’elle visait plus que tout. Qu’à cela ne tienne : Louiza a aussi la nationalité algérienne. Elle ira quand même, en vert-blanc-rouge. Et, le 27 juillet dernier, elle devient championne du monde, contre celle qui lui avait – injustement – ravi le titre national. Une belle revanche, pour cette jeune fille « timide », à qui la savate permet de « s’exprimer ».
Article publié dans Le mag n°125 Septembre-octobre 2019