En 2002, le club de tennis de la ville allait manifestement « droit dans le mur ». Attaché au lieu, en tant que joueur, depuis les années 1970, Roger Wurtz en a repris la présidence pour « relever le défi du redressement ». « Une galère, sourit-il, mais une galère positive ». Malgré les difficultés et l’investissement personnel permanent, il est « content d’avoir contribué à mener le club où il est aujourd’hui ». Après bientôt quinze ans de présidence, il envisage de transmettre les clés d’un « club de qualité » que trop d’habitants méconnaissent encore.
Article publié dans Le mag n°107 Mars-avril 2016